Créa de Yohan! Djolar en fait!!

Alors je poste rien pour le moment car je sais pas si je peux le faire!!
J'ecris actuellement une histoire sur un romancier! enfain j'essaie!

La question est ce que je peux le poster ici pour avoir vos avis? Ou non parce que ca na pas de rapport avec PB? ce que je comprendrais!!

Tu dois connaître mon avis Djolar ...Je suis la première à aimer tes écrits alors je suis d'accord pour que tu postes ton histoire...
Maintenant, tu as pu le remarquer, ici tout le monde est libre de poster ce qu'il veut, dans les limites requises, aussi je pense qu'Isara sera d'accord...
En tous cas moi je suis ravie à l'idée d'une histoire de Djolar !!!

Yes tu peux poster toutes sortes de créas ici Djo....vas-y....j'attends avec impatience....

Moi idem mon maître...

Mdr "mon maitre"!!!! looool

Et bien voici en exclusivité mondial la premiere partie de mon future roman qui ne verra jamais le jour parce qu'il sera trop nul pour...lol

L'histoire d'un romancier qui se perd!! j'en dois pas plus! bonne lecture et a vos avis (C'est important pour moi!!


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#Identité troublante


#Cela faisait déjà quelques minutes qu’il observait mon manuscrit. Le doigt posé sur l’une de ses lèvres, c’était certain, il était un minimum intrigué par mon histoire. A vrai dire ce n’était pas mon premier roman. Du haut de mes trente deux ans, j’en étais à mon cinquième. Il s’agissait le plus souvent de meurtre parfait, de roman policier en fait. J’aime me creuser la cervelle sur des choses dont je ne pourrais vérifier par moi-même si la science de mon écriture s’avère exacte. C’était aussi ce qui m’intéressait, ne pas savoir si j’écris du réel ou de l’irréel.

Pour mon sixième livre, j’avais décidé de me tourner vers une autre maison d’édition que celle qui m’accompagnait depuis de nombreuses années, pour des raisons bien spéciales. Le bureau était totalement différent de celui de mon ancien éditeur avec qui je dois l’avouer, j’avais noué des liens d’amitiés. Mais le plus étrange, c’est que c’était ce dernier qui m’avait conseillé une telle démarche. Vous ne voyez pas pourquoi ? Et bien en réalité c’est assez simple.

-Tout ca est assez intéressant, me dit cet éditeur. C’est votre premier ?

Comme je vous l’ai dit, ce bouquin est mon sixième. Les premiers ont plutôt bien fonctionné, mais après un changement de genre, les deux derniers n’ont pas connu le succès que j’avais espéré. Les gens de mon entourage pensent que le nom inscrit sur le livre, celui de l’auteur, joue beaucoup sur les ventes. Ils achètent selon le genre et son auteur. Donc lorsqu’ils voient un auteur de science fiction se tourner vers du policier, ils pensent que cela est incompatible, pareil pour un auteur d’histoire sentimental s’initiant dans le triller, cela leur fait peur. D’autres pensent que c’est la maison d’édition qui change la donne selon le genre. Alors me voila. En face de cet inconnu qui me pose une question dont il est difficile de se tromper, et je lui réponds bien entendu avec un sourire sure de moi:

-Oui, c’est mon premier.

Ne vous trompez pas, j’étais sure de moi, mais dans mon mensonge. L’homme retourna dans sa lecture, et moi, je scrutais les détails du lieu en y faisant une description mental comme le font les grands écrivains. C’était un bureau des plus banals, des dossiers empilés qui devaient contenir des romans soit refusés, soit en attentes. Les casiers blancs qu’on pourrait croire venu d’un lycée était certainement rempli de feuilles et d’outils spécifiques a un éditeur comme des agrafes et agrafeuses, des perceuses, des classeurs. Enfin, c’est ce que j’imaginais. Les rayons du soleil, traversant les stores mi-fermés, éblouissaient le bureau gris clair, fait de métal, je me demandais d’ailleurs comment il pouvait lire avec cette lueur assez importante, l’habitude certainement. Cela me changeait de mon ancienne maison d’édition qui était assez réputé, et donc assez luxueuse.

Mon interlocuteur perça de nouveau le silence, qui était bien lourd, je dois l’avouer, en m’informant, pour mon plus grand plaisir:
-Très bien, écoutez, je pense que je vais sans doute vous laisser une chance, m’annonça t’il en se penchant en arrière sur son fauteuil de cuir. Je vais lire tout ca, mais je suis assez conquis par l’idée. Vous pouvez me donner votre nom ?

-John Carter, répondis je.

Notant mon nom sur une feuille qu’il me transmit par la suite pour que je complète quelque information, Je me rendis compte que je ne savais pas vraiment ce que je faisais. Tout ca était si soudain. Mais mon stylo nota les informations sans que je puisse faire demi-tour. Je le regretterais peut être par la suite. Qui sait ? Mais pour l’heure, j’étais heureux que cet entretien prenne fin. J’avais hâte de retrouver ma femme pour lui annoncer la bonne nouvelle. Je me voyais déjà : « Chéri, tu as devant toi, un romancier dont le futur roman a été accepté ». Ne serait-elle pas heureuse ? Bien sur que si. Elle aimait me voir heureux, et j’aimais la voir heureuse.

Après plusieurs minutes et une poignée de main, je sortais enfin de ce bureau, et rejoignais cette rue, le plaisir naissant dans tout mon corps. Des frissons, un cœur battant anormalement, et une envie soudaine de crier de joie. Bien sur pour ne pas paraitre pour un fou aux yeux du peuple qui m’entourait, je n’en fis rien, mais j’en avais tellement envie.

Sur le chemin, tout était plus jolie. Les gamins s’amusants en criant n’était plus stressant, mais égayant. Les jeunes femmes, sortants avec les tonnes de sac, des magasins n’étaient plus affligeant, mais surprenant, non, mais sérieusement, comment font-elles, d’une part pour passer autant de temps dans un magasin, et d’autres part pour se payer tout cela ! Les vieilles dames, commères, n’étaient plus méprisantes, mais captivantes, comment pouvaient elles connaitre tout ces détails sur la vie de tout le monde ?

A se rendre compte de tout ces choses, a avoir les pensées envahissant mon esprit, a ne plus voir le décor qui m’entoure, j’en avais oublié mon appartement que j’avais passé depuis un petit moment. Alors je fis, bien sur, demi-tour pour le rejoindre. J’escaladai les escaliers quatre par quatre avec une énergie sans limite, et en face de cette porte dont j'avais la clé, il toqua.

bahh voui, tu es mon maître es fics !! C'est toi et ton talent entre autres qui m'ont aidé à "franchir" le pas pour écrire ma tite histoire...


Alors, revenons-en à ce très intéressant début d'intrigue... T'as plus le choix ! Il faut nous mettre la suite !....

Et au fait, rejoins-nous sur le nouveau forum peut-être aussi....

Et bien c´est vraiment un debut tres interessant mon cher Djolar j´attends la suite !!!

Merci c'est très gentil!

La suite est en cours!
Mais ne vous fier pas au apparence! je n'écris pas une histoire tout jolie, c'est pour mettre en haleine!! lol

Bravo Djolar, c'est très captivant...et ne t'inquiète pas obscure ou pas, on te suivra jusqu'au bout...

Et bien voici la suite!
Derniere de la journée!!
La suite de cette suite prochainement!!
Bonne lecture!
Et merci pour vos commentaires.
Ca fait plaisir!!



#Identité troublante


# La porte s’ouvrit et devant moi, le visage de mon frère cadet de dix neuf ans, Thomas, me fit apparaitre un plus grand sourire que je ne l’avais déjà inscrit sur mon visage. Mon frère était tout pour moi. En fait, ma famille entière était ma raison de vivre. Nous n’avons pas eu une enfance abracadabrantesque mais cela nous a suffit pour être heureux. Parfois nous avons dû manger des morceaux de pain comme unique diner, mais est ce que je m’en porte plus mal aujourd’hui ? bien sur que non. Ma vie est parfaite comme elle est. Une femme, une famille et une situation financière…, Bon d’accord, si ce dernier bouquin ne fonctionne pas, nous aurons du mal à remonter la pente, mais si tout va pour le mieux, cela sera le bonheur, même si cela l’est déjà pour ma part. Les finances ne sont que des bouts de papier créé par l’homme pour se faire une idée du bonheur, Mais le bonheur n’est pas visible, il se ressent.

-Kate n’est pas sortit au moins, demandai-je en regardant mon frère d’un œil interrogateur.

Comme à son habitude, il avait décidé de me taquiner, il regardait le plafond comme si il ne m’entendait pas. Il était conscient que je détestais être invisible aux yeux des autres, et en jouait souvent. J’inclinai la tête et je lui demanda en voyant qu’il ne bougeait pas et restait muet comme une carpe :

-Bon, si tu ne veux pas me répondre, tu veux bien au moins me laisser passer ? C’est mon appart quand même.

C’est quand mon frère me laissa enfin pénétrait dans mon chez moi, que j’entendis la voix la plus douce au monde, celle de ma Kate :

-Notre appart, me rectifia t’elle gentiment avec un sourire.

A la vue de cette magnifique femme, je ne pus m’empêcher de lui dire les pensées qui fusionnaient dans ma tête, tel un écrivain notant sur un bout de papier :

-Elle avait les yeux d’un bleu océan, se mariant parfaitement avec ses longues boucles blondes argenté, souriant a chaque description que j’osais lui faire lorsque je pensais qu’il était fort intéressant pour moi de le noter sur un papier tant la beauté de cette femme éblouissait mes yeux de milles lueurs.

Je m’approchais lentement de ma femme qui était merveilleuse. Mais pourquoi l’était elle encore plus aujourd’hui que les autres jours ? Il y avait quelque chose de changé. Je le remarquais très bien, et ce que cela cachait m’effrayais dangereusement, au point ou mes jambes ne semblaient répondre qu’à moitié. Mon cœur battant, je continuais d’avancer vers elle et à la décrire comme elle aimait que je le fasse :

-C’est à cet instant, que la magnifique jeune femme au visage angélique souriait encore plus, et arrachait mon cœur a chacun de ses battements, comme au premier jour, elle m’avait ensorcelé, comme au premier jour, chaque seconde sans elle était perdu, et comme au premier jour, mon cœur était entre ses mains…, C’est a ce moment la que le ton de ma voix changea pour prendre place a de l’incompréhension,... Mais cette robe, qui je dois l’avouer, est sublime sur toi, tu ressembles a une déesse…

Oui, c’est cela. Elle portait une robe ressemblant a celle des déesses grecques. C’est superbe robe très ample mais par leur chute donnait une taille fine a celle qui en était vétu. D’ailleurs cette robe lui était familière, cependant :

-Tu n’as pas fait des folies au moins ?

-Julian, Arrête de faire l’idiot. Elle est a ta mère, elle me l’a passé, dit elle d’une voix attendrissante en posant ses bras sur mes épaules, puis murmura presque. Elle m’a dit qu’il était tant qu’elle m’appartienne, que j’en avais plus besoin qu’elle a l’heure actuelle.

-A l’heure actuelle ? Demandai-je assez surpris.

-Je me doutais de quelque chose bien entendu, mais j’avais peur de me tromper. A vrai dire j’attendais ca depuis tellement longtemps que je ne voulais pas me donner de faux espoir. Je regardais mon frère s’assoir de manière mollasse sur le canapé d’un air amusé, et l’observa d’un air intrigué. De toute évidence, il y avait une bonne nouvelle. Alors je me tourna rapidement vers Kate, et la surprise sur mon visage lui fit comprendre que j’avais une idée sur la question. Elle hocha alors la tête avec un de ces sourire si craquant.

-C’est pas vrai, dis-je avant de la serrer dans mes bras et la faire tourner sous l’effet de la joie.

Les souvenirs me sont revenus, un instant après. Cette robe était celle que portait ma mère lorsqu’elle était enceinte de moi, puis de Thomas. Elle en avait pris extrêmement soin, afin de la transmettre un jour à la première de ses belles filles qui tomberait enceinte. Et c’était Kate. Une journée aussi belle ne pouvait continuer. Et pourtant, c’est ce qui se produisit. La présence de mon frère annonçait un repas de famille qui c’est très bien placé. Et pour cause, nos parents respectifs, réunis, était très heureux de devenir grand parents. J’en avais même oublié de parler de l’édition de mon livre. La famille avant, le boulot ensuite.

Mais vous allez me dire, « Oui, sa vie est parfaite ». Mais une vie parfaite, est elle fait pour durer ? Ne se lasse t’on pas de celle ci ? Et bien non, on ne s’en lasse pas, et lorsqu’on l’a perd, on fait tout pour la récupérer. Parce que j’ai perdu cette vie. J’ai tout perdu, je me suis même perdu moi-même. Tout cela à cause de lui. Cet homme. Un homme qui me ressemble sans me ressembler. Un homme qui s’est imprégné de moi, et que je n’ai pas su faire fuir. Au contraire, cet homme je m’y suis attaché au point de m’y loger. Cet homme, c’est John Carter. Je l’ai inventé, je l’ai vécu, et à présent, je le hais.

Wouah c´est superbe suite Djolar ca devient de plus en plus captivante cette histoire et vivement la suite !!!

Honte à moi cher Djolar, je n'avais pas vu que tu avais mis une suite.... very very very sorry....
C'est magnifique, que c'est fluide et agréable à lire tout en étant angoissant et interrogateur à la fois...On imagine chaque scène, chaque personnage, chaque lieu...Bravo Djolar et merci pour ce plaisir à chaque lecture...